La véritable histoire de James et Tim Towa
Avant de parler de mon frère ou moi, je devrai vous expliquer
l'histoire de maman... Enfin pas toute l'histoire. Sinon vous risquez
de vous endormir. Ou bien vous n'allez même pas daignez lire les
quelques lignes à son sujet.
Maman naquit à New York, dans un hôpital moldu mais dans une section
sorcière, bien entendu. Il faut savoir tout d'abord qu'aux Etats Unis,
le monde sorcier et moldus se côtoient. Un simple exemple, leur
vêtement. Oh ! Mon frère est déjà entrain de me faire remarquer que je
ne vous raconte pas l'histoire mais que je pars encore dans une
spéculation... Où en étais-je? Ah oui ! Je m'en souviens... Donc comme
je disais, elle est née le 14 février 1973, dans les environs de midi.
Dehors, il faisait froid, les rues étaient privées de circulation à
cause de la tempête de neige. Vous allez certainement vous dire que
pour un enfant naître le jour de la fête des amoureux, elle dû avoir
une charmante enfance. Même pas. Déjà ses parents, l'appelèrent
Isabelle, en hommage à un membre de leur famille qui avait terrorisé
durant l'inquisition un grand nombre de moldus juste pour pouvoir être
brûler vif. Elle eut une éducation des plus strictes. Seul enfant de la
famille Towa, elle devait être la représentation parfaite d'une famille
de sang pur des Etats Unis. Oh j'oubliais de vous parler de sa beauté...
Enfin maman, n'est pas si moche, si belle. Elle est normale comme elle l'aime le dire.
Elle est un peu ronde, ou bien comme dit un personnage de BD que nous
adorons tout les deux mon frère et moi : "Je suis bas de poitrine".
De plus, elle est petite, actuellement nous la dépassons d'au moins deux têtes.
Son visage par contre est celui d'un ange aux cheveux noirs bien entendu. Ses yeux sont d'une couleur banale... Brun.
Bien entendu, elle alla à Salem suivre ses études. Mais je vais vous
passer les détails. Je ne comprends pas pourquoi maman, ne veut pas
nous en parler.
J'arrive au passage que James adore, l'histoire de notre conception.
Pour fêter l'obtention de tout ses ASPIC. Notre future maman, décida
d'aller avec des amis, moldus, dans une discothèque. La soirée se passa
bien, elle fit même la connaissance d'un jeune homme remarquable. Puis,
avec l'aide de l'alcool, une chambre d'hôtel fût louée. La suite se
passe sans commentaire. [Nous essayons toujours de savoir comment il
était au lit mais elle n’arrête pas de nous dire, qu'elle mourra avant
de nous l'avoir dit... Enfin, c'est maman].
Le lendemain matin, la chambre était payée, mais Isabelle se retrouva seule dans le lit. Sans une lettre, une adresse sans rien.
Neuf mois plus tard James et moi, décidions de venir embêter maman.
Nous sommes nées à St Mangouste car, étant une jeune mère célibataire.
Elle n'avait pas voulu que la famille soit montrée du doigt. Vous savez
ce que c'est dans le milieu de la haute société. Non ? Bah !
Franchement, nous non plus ^^
Maman rigole souvent lorsqu'elle nous explique la façon que nous sommes
née. Elle hurlait partout qu'elle ne voudrait plus jamais d'enfant.
Qu'on était des monstres, des êtres venus d'ailleurs... Qu'on était là
juste pour la faire souffrir. En gros, un accouchement normal. Mais le
pire dans tout ça, c'est qu'on est né par césarienne car mon cordon
ombilicale s'était enrouler autours de James. Et c'est nous les
monstres. Je vous jure les mères....
Après notre naissance, nous fûmes sous surveillance constante de sa
part. Elle nous trouvait trop mignons avec nos petites bouilles. Ce
n’est pas compliqué. Vous venez chez nous. Vous aurez droit aux albums
photos. C'est d'un ennui mortel. Vous pouvez me croire. Mais bon, comme
elle aime nous le rappeler nous sommes ses bébés. Isabelle Towa, oui
!oui !notre maman à James et moi, si vous n'aviez pas encore comprit.
Oh ! Je vois des gens qui viennent de comprendre qui c'était. La star
de film X. Hum ! Vous croyez qu'avec le physique qu'elle a. Quand je
vous dis que vous êtes des pervers, vous me croyez non ? Maman est une
journaliste reconnu dans le monde sorcier, étant une des rédactrices de
la gazette des sorciers. C'est celle qui fini toujours ses articles en
signant J'aime Toi et T'aimes Toi. Un jeu de mot qui vient de mon
invention. Donc si vous n'aimez pas quelqu'un, envoyez-moi un petit
hibou, pour 5 Gallions je trouverai un jeu de mot pour la personne.
Qu'est-ce que je disais avant de parler d'affaire. Ah ! Oui, je m'en
souviens. Elle nous prenait tout le temps avec elle lors de ses
déplacements. Ce n'était pas vraiment facile pour elle de pouvoir
rencontrer des gens avec deux enfants qui pleuraient, mangeait et
dormaient tout le temps. Mais elle est bien devenue célèbre et tout ça
grâce à nous.
Nous avons habitués dans un appartement non loin du Chaudron Baveur, le
flat était petit, il n'y avait qu'une chambre. Au départ maman dormait
avec nous, mais lorsque nous commencions à faire nos nuits, elle alla
dormir dans la pièce qui faisait salon, salle à manger et cuisine.
Heureusement, qu'elle ne fumait pas.
Lors de nos deux ans, maman eu une promotion. D'une simple journaliste
qui faisait la rubrique des chiens écrasés, elle commença a faire de
chouette article. Elle interviewa même Harry Potter. A nos souvenirs à
petit pois et moi-même, il est imbu de sa personne. Cette année là
restera marqué aussi à jamais pour une autre personne.
En effet, un dimanche comme tout les dimanches. Nous avions prit
l'habitude d'aller au parc. Maman sur un banc, James et moi entrain de
jouer dans le sable avec des enfants de moldus. Là, un homme s'approche
de maman. Au départ, nous le regardions méchamment. Mais lorsqu'il la
fit rigolé, deux enfants s'approchèrent de lui (James et moi pas ceux
de la voisine quand même). Il ne nous remarqua pas tout de suite,
lorsqu'il se pencha vers elle pour l'embrasser. Ses vêtements prirent
feu.
Le pire c'est que maman ne nous engueula même pas, elle était si fière
de nous. Nous étions aussi des sorciers puisqu'elle ne savait pas si
notre père était ou pas un sorcier. Sa crainte venait de se dissiper.
Il en fut ensuite ainsi pour chaque homme essayant d'approcher maman de
trop près. Nous sommes ses deux hommes y aura personne d'autre.
Avec sa promotion, nous déménageâmes. Comment ça, tu n'aimes pas que
j'écrive au passé simple. Mais tu es ######.... Oh ! Vous êtes encore
là, c'est James qui me faisait une remarque. Comme je disais avant
d'être interrompu pour mon reflet, nous habitions vers l'âge de deux
ans, et nous y sommes encore assez souvent, une jolie petite maison
avec plein de pièce. Un manoir en gros. C'est assez chouette, nous
avons un laboratoire pour faire des expériences, une pièce (la cave)
pour nous faire de la musique, du rock alternatif s'il vous plait.
Logiquement nous avons aussi chacun une chambre, mais la chambre de
James est mieux donc.
Mais qu'est-ce que je raconte moi, je vous explique déjà notre vie.
Pourquoi c'est pas Jamesou qui s'occupe de l'histoire pour finir ? Mais
moi ? Ah ! Car je parle bien, je raconte bien l'histoire. Si tu le dis.
Enfin, on a déménagé. Et nous sommes aussi allés à l'école, avec des
enfants de notre âge mais eux, ils n'avaient pas de pouvoir magique.
Qu'est-ce qu'on sait amuser dès la première maternelle. Lorsque
l'institutrice avait le dos tourné, on faisait rire tout le monde. Non
pas des farces styles comme les jumeaux qui ont inventé le magasin de
farce et attrape qui est fort célèbre. Mais comme deux enfants qui
décident de faire rire leur monde.
Nous n'étions pas les jumeaux, nous étions des imitateurs, des comiques, des clowns. Nous étions nous ! ! !
L'école se trouvait dans notre rue, au début, en maternelle, maman nous
y conduisait au matin et elle venait nous rechercher en soirée. Mais
lorsque nous décrétâmes à l'âge de 6 ans que nous étions assez grands
pour aller tous seuls à l'école. Elle nous laissa faire. Même si j'ai
toujours un doute. Je la suspecte de regarder si nous allions bien à
l'école et non nous promener dans le parc qui se trouvait aussi tout
près de chez nous.
Nous grandîmes, maman vieillit, elle commença à perdre ses beaux cheveux, ses dents tombèrent aussi.
Oh ! Mamoun. Comment ça je dois arrêter de mentir. Mais c'est moi qui
raconte l'histoire à la fin. Si ça ne vous plait pas. Je pars bouder.
Na !
Bon ben puisque Tim boude, je prends le relais ! Ici James Towa à l’antenne !
Dans notre manoir, il y avait un très ancien fantôme que maman appelait
« l’indésirable ». Lorsque nous avons emménagé dans cette splendide
bâtisse avec un grand jardin verdoyant et immense qui… Bon ok,
l’histoire… Ah tu boudes plus ? T’aime Toi se réveille enfin. Bref, le
manoir semblait parfait, si on ignorait qu’un fantôme était bien décidé
à rester. Tim et moi, on s’en accommoda très bien, d’ailleurs, il
devint vite notre ami, ne demandez pas pourquoi, il nous trouvait
sympathiques. Maman en revanche, le haïssait et nous n’y étions pas
pour rien ! A chaque fois que maman ramène un nouvel amoureux, durant
qu'ils font une chose qui nous, on l’envoie ! Collés à la porte pour
entendre les réactions furieuses de maman et effrayées du mec bien
entendu. Et dès qu’elle sort de la chambre en pleine crise de furie,
elle découvre deux petits anges jumeaux qui discutent calmement dans ma
chambre. Si elle commence à nous crier dessus, réaction prévisible :
« Mais voyons, c’est pas nous Maman ! »
« Oui ! C’est le fantôme ! »
« A moins qu’on puisse passer au travers des murs… »
Tout ça dura jusqu’au jour où maman nous a menacé de renvoyer notre
ami. Là, on a arrêté, mais on l’a remplacé par des Beuglantes ! Enfin…
Ca ne suffisait pas car elle jetait des sorts d’Impassibilité sur sa
porte. C’est là qu’est arrivé Charles-Edouard, notre futur beau père,
avait elle annoncé… On n’avait pas 11 ans et on venait tout juste de
sortir de primaire. On a été tellement scandalisés que pendant près
d’un mois, on s’était enfermés dans le garage à faire de la musique le
plus fort possible. Lorsqu’on était fatigués ou qu’on montait en douce
dans la cuisine pour manger, on ensorcelait nos instruments pour qu’ils
jouent tout seuls. A la fin du mois, qui était le mois d’août, on a eu
11 ans, ce qui mit fin à nos agissements. En effet, c’est à cet âge là
qu’un sorcier est jugé apte, selon le ministère… Pfeuh ! N’importe
quoi, je peux vous dire qu’on n’était pas apte du tout moi^^, trop
gamins, comme diraient certains… Enfin, à ce moment là, ce crétin
pompeux qui se prétendait être notre beau père décida de « prendre
notre éducation en main » comme il le disait si bien. Il a commencé par
nous interdire beaucoup de choses, à commencer par fréquenter les
moldus. On était fous de rage, car il se trouve que notre meilleure
amie est une moldue et elle est au courrant de tout. Ensuite, on devait
rentrer à heure précise toujours dire où on allait, pas manger de
cochonneries… En bref, on n’avait plus aucune liberté quoi. Au bout
d’un moment, vous savez ce qu’il a fait ? Il est allé jusqu’à engager
un précepteur ! Dingue non ? Ding Dong, Ding Ding Dong… Mwarf, commence
à avoir faim moi. Tim ?... Bon ok ! ok ! Je continue.
Bref, le précepteur était une jeune recrue qui finissait à peine ses
études. Inutile de vous préciser la raison de sa démission trois
semaines plus tard, si ? M’enfin ! Vous avez toujours pas compris qui
étaient J’aime toi et T’aimes toi ? Bon… On lui a rendu la vie
impossible. Au bout d’une semaine, il a commencé à se plaindre à
Charles-Edouard, au bout de deux semaines, il était constamment au bord
de la crise de nerfs. Enfin, la troisième semaine, il a carrément fait
une tentative de suicide parce que Charles-Edouard avait refusé sa
démission ! Le jeune fou ! Après, il a bien été obligé de le laisser
partir, ça aurait Sali sa belle réputation sinon… Après ça, il nous a
passé un savon. Savon dont nous n’avons rien entendu puisqu’on s’était
endormis pendant qu’il faisait les cent pas dans la cuisine.
Au fil des mois, il a dû engager une vingtaine de précepteurs
différents, tous aussi crétins les uns que les autres. Comment ça, je
dis trop de fois crétin ? T’avais qu’à continuer tout seul, na ! Donc
je disais… ah oui ! Le plus tenace des précepteurs qu’on ai jamais eu,
était venu début janvier et était resté jusqu’à fin mars. Un exploit,
n’est-ce pas ? C’était un vieux shnock qui était tellement entêté qu’il
pensait que c’était qu’une question de temps pour qu’on devienne deux
petits anges… Au bout de cinq ou six précepteurs, Tim et moi on a
commencé à faire des paris sur le temps que le prochain mettrait à
partir. On n’avait pas besoin de précepteurs, un livre avec la formule
suffisait, on apprenait tout seuls.
L’année de nos douze ans, le souvenir de l’interdiction de voir des
moldus a soudainement disparue. Un jour on était allés au par cet on a
vu un type du genre balèze… qui avait visiblement des vues sur notre
meilleure amie ! Elle n’avait pas l‘air d’apprécier alors, bien
entendu, on s’en est mêlés.
Je crois bien qu’il avait deux ans de plus que nous, oui. Et il y avait
deux de ses copains avec lui aussi. Sauf que nous, bah on voulait juste
qu’il fiche la paix à Clarisse. Pendant que Tim s’occupait de Clarisse,
je lui ai fait entendre ce que je pensais de lui bien en face. Quand il
a commencé à insulter Charles-Edouard pour nous provoquer, on était
tordus de rire et un renchérissait à chaque fois ce qu’il disait. Mais
comme il voyait que ça ne marchait pas, il a commencé à traiter maman
de prostituée qui se tape tout de qu bouge.
Après, ne fallait pas s’attendre à ce qu’on lui dise de se taire en
qu’on rentre bien sagement chez nous, non. Il s’en est suivi une
bagarre. On l’a sentie passer celle là pas vrai frangin ? Mais ça en
valait la peine ! Car non seulement il n’a plus jamais approché
Clarisse, mais en plus quand on est rentrés couverts de poussière et de
bleus, on a cru que Charles-Edouard allait devenir fou.
Charles-Edouard… Le prénom va bien avec la personne, tout aussi pompeux
l’un que l’autre. Avec Tim, on veille bien à ce qu’il ne l’oublie
jamais. A table, les blagues fusaient la plupart du temps.
« Mon cher Charles-Edouard, auriez-vous l’honneur de me passer le plat de petits pois qui se trouve juste à votre droite ? »
« Voyons Charles-Edouard, mangez plus proprement ! Ce n’est sûrement
pas ainsi que l’on vous a éduqué. Que dirait votre défunte mère si elle
voyait ça ? »
« Quel maladroit vous faites ! Un peu de tenue Charles-Edouard. » Là
c’est soit quand il renverse la sauce, soit quand il glisse sur des
billes qui disparaissent mystérieusement lorsqu’il baisse les yeux.
Parfois, entre nous, on parle aussi comme ça pour l’exaspérer un peu plus.
- Puis-je caresser l’espoir que tu me passes les cornichons ?
- Caresse, caresse…
Quoi encore ? Oh m*espace censuré* !!!!! T’as raison Tim, j’oublie un
élément essentiel. Excusez-moi chers lecteurs, mais vous allez devoir
encore lire un peu ! L’année de nos 9 ans, c'est-à-dire l’année où
maman a connu Charles-Edouard, elle nous a donné une nouvelle
importante.