Faolan Tyronoe

Identité:

Nom: Tyronoe
Prénom: Faolàn
Surnom éventuel: Tout un tas déviés de son nom ou de son prénom. Fao, Làn, Tyr, Tyro-flàn (vivent les copains), voire Noe de temps à autre.
Age: 27 ans
Date de naissance: 16 Juin 2071
Sang : Sang mêlé depuis si longtemps qu'on peut bien le dire pur – malgré la présence récurrente de Cracmols dans la famille.
Lieu de résidence: Une ancienne bâtisse en ruine rapidement retapée nommé Old Gwernyfed qui se trouve a quelque distance de la ville de Hay-on-Wye au Pays de Galle.


Famille

Père: Un vieil excentrique, toujours perdu au milieu de ses livres dans sa campagne tranquille, voilà comment on pourrait décrire Uthyr Tyronoe. Très intelligent, il n'a pas son pareil pour réparer les choses. La création ne l'a jamais intéressé mais il est un bricoleur très talentueux et répare à peu près tout des livres aux maisons. Il a d'ailleurs bien aidé son fils pour Old Gwernyfed et a encore pas mal de plans d'amélioration (principalement pour les fenêtres). Malgré ses 68 ans, Uthyr reste plutôt beau garçon qui briserait bien des coeurs s'il n'était pas aussi amoureux de son épouse. Ses cheveux blancs un peu longs encadrent un visage buriné dans lequel brillent deux yeux bleu vif. Son fils aîné lui ressemble étonnement et il est facile de prévoir ce que Faolàn deviendra en le regardant. Il a une voix un peu rauque a cause d'une consommation excessive de tabac et les mains calleuses de part son amour des travaux de constructions qu'ils soient magiques ou manuels.

Mère: C'est une vieille jeune fille. Malgré ses cheveux gris et les quelques rides qui osent marquer son visage de poupée, Sew reste vive et alerte, régentant la maison, organisant des réceptions et des fêtes. Douce mais solide, la tête bien posée sur ses épaules, c'est vers elle que l'on se tourne en cas de problème qu'il soit de voisinage ou conjugal. Conseillère de la plupart des femmes de la région, renommée pour son bon sens et sa justice, il est facile de lui faire confiance et sa parole est souvent respectée dans le voisinage. Sa magie est erratique mais bien présente. Elle préfère toutefois demander à son fils aîné ou son époux lorsqu'elle a besoin d'un coup de baguette.

Frère et soeurs: La famille compte deux garçons. Faolàn étant l'un deux, je dois vous parler de son cadet Eilian. A 25 ans passés, Eil est charpentier de formation et est en bonne passe pour devenir chef de chantier. En effet le jeune homme n'ayant jamais montré la moindre once de talent magique, il se tourna vers le monde moldu. Cette différence n'empêcha toutefois pas le blond Eilian et le brun Faolàn de s'entendre comme deux frères. Eilian s'est marié à 18 ans avec une autre cracmol nommée Alana dont il a une petite fille qui, miracle, montre tous les signes d'un pouvoir assez prononcé Faolàn adore Nuala sa petite nièce et passe pas mal de temps ) lui montrer des tours. Il fut convenu entre les deux frères que ce serait lui qui se chargerait de l'éducation magique de la petite ce dont Faolàn est à la fois flatté et effrayé.
Eilian est un jeune homme blond aux yeux verts, à la peau blanche et à la carrure plus forte que son aîné. Sa femme est une brune aux yeux marron, de petite taille et assez frêle qui est institutrice pour les familles de sorcier ne voulant pas que leurs gamins fréquentent trop de moldu mais désirant leur faire tout de même connaître cet étrange monde. La petite école d'Alana a été construite entièrement par Eilian et Uthyr il y a 4 ans et marche plutôt bien.

Ascendance connue ( exemple un ancien de gryffondor ...): Si vous demandez çà Uthyr de vous parler de l'arbre généalogique de la famille, il vous racontera des histoires de malédiction, de magie erratique, de jumeaux dont l'un était cracmol et l'autre d'une puissance magique capable de surpasser Dumbledore lui même. Mais si vous demandez à le voir, vous ne verrez qu'une famille de sang mêlé banale (malgré un pourcentage assez élevé de nés de moldus et de cracmols dans les branches annexes) d'intellectuels ayant fréquenté en majorité les bancs des serdaigles et des poufsouffles.


Vous

Anciennes écoles :
Enseignement de base à l'école primaire moldue d'Hay-on-Wye
Collège (10 à 18 ans) à l'université magique d'Oslo (Norvège) Laerdom
Université Magique (18 à 23 ans) sections « Sort et Métamorphose » toujours à Oslo (Norvège) : Trolldom (Diplôme Obtenu, Maîtrise, mention Effort Exceptionnel)
Tour du Monde (23 à 25 ans – divers métiers mais le plus souvent cours de langue anglaise et norvégienne)
Chargé de cours à l'université Laerdom d'Oslo (25 à 27 ans)

Métier choisi :
Professeur de Sorts et Enchantements, Directeur des Serdaigles

Expérience professionnelle :
BUSEs et ASPICs à l'université Laerdom d'Oslo
Maîtrise de l'université Trolldom d'Oslo en Sort et Métamorphose
Cours particuliers de langue un peu partout dans le monde
Chargé de cours à l'université Laerdom d'Oslo

Bilingue Anglais/Norvégien, Connaissance assez bonne du Français, du Celte, du Gallois et du Breton. Bredouille (mal) l'allemand.

Diplômes
BUSEs et ASPICs à l'université Laerdom d'Oslo
Maîtrise de l'université Trolldom d'Oslo en Sort et Métamorphose

Buses Obtenues:
Histoire de la Magie : A
Métamorphose : E
Sortilèges & Enchantements : O
Défense contre les Forces du Mal : A
Astronomie : A
Botanique : P
Potions : P
Etude des Runes : A
Arithmancie : A

Aspics Obtenus:
Histoire de la Magie A
Métamorphose : O
Sortilèges & Enchantements : O
Défense contre les Forces du Mal : E
Astronomie : A
Botanique : P
Potions : A
Etude des Runes : A
Arithmancie : P



Caractère

Manie, toc, habitude : Si vous lui demandez, il vous répondra bien sur qu'il n'en a pas. Néanmoins, comme tout être humain, il en a un certain nombre, comme se frotter la nuque quand il est gêné, sourire quand il ne sait pas quoi répondre, se tenir très droit, marcher comme s'il s'empêchait de courir, etc. Rien de bien marquant toutefois.

Phobie : Le noir. Oui c'est ridicule pour quelqu'un de son âge mais quelle phobie ne l'est pas n'est ce pas ? Pour palier a cette peur qu'il ne veut pas révéler, il a toujours sur lui un objet enchanté pour faire de la lumière lorsqu'il n'y en a plus. Même une étincelle peut faire fuir les ténèbres.
Il a également des tendances claustrophobes. Pas au point de se mettre a paniquer s'il est enfermé dans une petite pièce (pas obscure par contre) mais assez pour ne jamais fermer de portes et faire attention a toujours avoir une fenêtre dans son champs de vision.

Qualités : Faolàn vous dirait en plaisantant que sa seule qualité est d'être un être humain respectable. Mais fi de cette fausse modestie qui cache une certaine prétention. Faolàn est donc profondément gentil, patient, travailleur, sérieux et fidèle. Il a un sens de l'humour qui lui fait bien prendre la plupart des plaisanteries mais qui n'est pas assez développé pour qu'il en fasse lui même. A part lorsqu'il est question de ses phobies, il est plutôt courageux, pas dans le genre fonceur mais plus celui qui reste coûte que coûte là ou il doit être.

Défauts : Quelques un malgré tout. Droit jusqu'à la maniaquerie, il pardonne mal les défauts des autres. Il est exigeant, parfois rigide et même assez dur lorsqu'il est de mauvaise humeur. Assez intolérant sur certains points, il ne vaut mieux pas lui manquer de respect ou critiquer sa famille (ou les cracmols voire les moldus) car il entre alors dans de froides colères qui ne s'éteignent pas. Et oui, il est rancunier en plus.

Caractère en résumé : Donc en résumé, la plupart du temps Faolàn est un jeune homme gentil, droit, sur de lui mais sans excès, a la fois capable d'apprendre des plus âgés et d'enseigner aux plus jeunes. Il a un sens de l'humour particulier que l'on pourrait qualifier d'intellectuel. La plupart de ses blagues sont tellement compliquées qu'elles tombent à l'eau. Il plaisante donc assez rarement mais comprends très bien l'humour et ne se vexe que très rarement. Heureusement d'ailleurs car il n'est pas prompt à pardonner lorsqu'on l'a blessé et ses colères froides sont souvent dévastatrices. Courageux mais pas téméraire, il peut se tenir en plein milieu d'un champ de bataille sans battre un cil mais n'ira au combat que contraint et forcé. En général il réprouve la violence, pensant que l'éducation et la logique peuvent venir à bout de tout.
Malgré les forts sentiments qui l'animent, il reste d'humeur égale et son visage montre souvent une froideur qu'il ne ressent pas au fond. Il ne crie que très rarement et juste pour attirer l'attention à lui ou en cas de grave danger.
Il est assez dur à vivre dans l'intimité du quotidien. Maniaque, calme, froid, tranquille voire presque insensible parfois, il viendra vous reprendre autant de fois que nécessaire pour que tout soit parfait. Ce qu'il demande aux autres, il se le demande également à lui même et il n'est pas rare de le voir réessayer la même chose plusieurs heures de suite jusqu'à ce que ce soit parfait. Ce besoin de contrôle et d'excellence est parfois dommage parce qu'il rend Faolàn moins naturel et plus affecté qu'il ne l'est lorsqu'il se sent en sécurité.

Quelles sont vos relations avec la gent féminine : Bonne tant que la romance ne s'y met pas. Si la demoiselle se met a me regarder en battant des cils j'ai tendance à me renfermer dans ma coquille. Si c'est moi qui suit conquit je deviens assez idiot. Et lorsque je suis en couple, il faut pouvoir me supporter

Quelles sont vos relations avec la gent masculine : Plutôt bonne également. Même si je ne suis pas du genre a donner de grandes tapes viriles ou a parler beaucoup, j'apprécie la présence de mes homologues masculins presque plus que celle des femmes parce qu'il n'y a aucun réel enjeu de séduction.

Avez-vous un ou une petite amie: Non, pas en ce moment.

Etes vous un dragueur, un timide, un extraverti : Ni l'un ni l'autre, ni le troisième. Lorsqu'on me plait, j'essaie d'être serviable et de plaire aussi mais surtout de rester moi -même. Je ne vois pas l'intérêt de vivre une relation basée sur le mensonge.

Sexualité: Hétérosexuel à 99,9%. J'ai déjà eu une aventure homosexuelle mais ça ne m'a pas plu du tout.

Physique :

Style vestimentaire: Décidément médiéval. Justaucorps de cuir, pantalons, tuniques et capes, on est bien loin de la robe de sorcier traditionnelle. Elevé au milieu des moldus durant toute sa jeune enfance, Faolàn n'a jamais prit l'habitude des robes qui restent pour lui un habit typiquement féminin. Au point même que lors de ses études à Oslo, il portait un pantalon sous sa robe d'uniforme. Il n'était d'ailleurs pas le seul, le froid là bas étant parfois mordant.
Cela dit il reste élégant, préférant des teintes sobres comme le brun, le pourpre, le Bordeau, le bleu foncé et le vert profond avec des broderies souvent argentées.

Votre physique: Je suis un garçon plutôt grand, assez frêle comparé à mon frère mais possédant tout de même une certaine carrure qui contrebalance un peu mes traits fins et presque efféminés. Ma peau est très blanche ce qui est du autant à ma carnation qu'au fait que je n'apprécie que modérément la chaleur et donc ne me met pas en position de bronzer. Mes cheveux sont châtains clairs, de la couleur profonde du bois avec quelques reflets acajous. Ils sont assez raides et je les laisse pousser un peu. Pour le moment ils me tombent sur la nuque et dans les yeux mais je n'envisage pas de les couper tout de suite. Les cheveux courts me dérangent et me grattent un peu comme si je me faisais pousser la barbe.
Autre signe distinctif, mes yeux. Ils sont assez grands et en amande et surtout d'un bleu gris assez profond. J'en suis très fier et pourtant j'en ai vu des yeux clairs en Norvège. Du bleu glacier au bleu marine mais aucun avec ma nuance saphir. Malheureusement dans mon visage, ils ont tendance à prendre une expression hautaine et méprisante qui ne me va pas vraiment. Comme je souris peu et que le reste de mon visage est lisse et sévère, j'ai peur qu'on ne me juge bien vite sans me connaître. Peu importe toutefois, ces gens là ne valent pas la peine que je les regrette.
Je n'ai pas grand chose d'autre a dire sur moi. Je suis plutôt bien proportionné en général, mes mains sont blanches et douces parce que contrairement au reste de la famille je ne suis pas très manuel, préférant l'utilisation de la baguette à celle d'un marteau ou d'une ponceuse. Mes pieds sont des pieds et m'aident a marcher (sisi) quand au reste, je vous laisse l'imaginer vous même.

Signe distinctif: J'ai une tache de naissance de la taille d'une pièce d'une livre légèrement elliptique au niveau de la 6eme vertèbre, à gauche, dans le dos. J'ai également une cicatrice au genou droit, souvenir d'une chute dans un glacier.

Piercing: Aucun

Tatouages: Pas plus.

Histoire:

Ici, ni miracles ni martyrs, ni chansons ni héros, ni messies ni messages. Ma vie se déroule comme un lent Basilic cherchant la sortie d'un tunnel dont la fin n'a pas encore été creusée. Et dans cet étroit couloir il vous sera difficile de trouver les racines dont l'extrémité acérée aurait pu me blesser. Seule l'obscurité qui pave mon futur est à craindre et je ne suis pas assez idiot pour me soucier des problèmes qui sont encore dans les limbes.

Je suis né en pleine lumière, non loin de ces lieux où je compte bien finir mes jours. Mes parents n'étaient pas des dragons mais se distinguaient naturellement des Veracrasse qui nous entouraient ce qui fait que j'ai toujours le souvenir de notre salon plein de gens différents. Les femmes se tournant vers ma mère, les hommes discutant avec mon père dans la bibliothèque. Je me souviens également du craquement du feu, de l'odeur de la pipe dont la fumée bleue s'élevait vers le plafond, faisant lever les yeux au ciel à ma mère. Je me souviens des soirées sans bruit, du berceau de mon frère, d'images et de sons intemporels. J'avais trois ans, et le monde était grand. Je n'avais seulement pas encore idée à quel point.

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours eu une peur panique du noir et des pièces closes. D'aussi loin que je me souvienne Eilian a toujours été à mes côtés et d'aussi loin que je me souvienne, mes parents ont toujours été vieux. C'est là que commence la descente en sous-sol. On ne peut pas avoir confiance en ses souvenirs. Mes parents se sont rencontrés à l'université d'Oslo celle là même que j'hanterais durant mon adolescence et les premières années de ma vie d'adulte. Ils étaient deux anglais, partis dans le nord et le froid pour étudier loin des fanfreluches de Beauxbâton, de la rigueur noire de Drumstang ou des bêtises du nouveau continent. Deux préfets de deux des trois maisons principales. Sew appartenait à Huldre, ce monstre ressemblant à un homme à queue de vache et pouvant devenir invisible et Uthyr fréquentait les rangs des Sleipnir, le cheval mythique à huit pattes, capable de se déplacer dans l'air, sur terre ou sur la mer. Pour ceux qui se demanderaient dès maintenant laquelle des deux fut ma maison, je leur dirait qu'il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Je fus certes préfet mais dans la troisième maison, Skotgatt, ce chat géant mythique qui tirait le char de Freya, déesse de l'amour et de la fertilité. Mais ne mettons pas le char avant les chats.

Je grandis donc dans un milieu où moldus et sorciers se côtoyaient, jouant avec ce frère qui, bien que plus jeune que moi, était présent dans les plus vieux de mes souvenirs. Je n'ai jamais su avec exactitudes quelles étaient les profession de mes parents, mais je sais que mon père fréquentait souvent les chantiers de construction et que ma mère avait plus ou moins un rôle politique. Bref. De ma naissance à mes six ans, il ne se passa rien de très particulier. Après non plus d'ailleurs, si ce n'est que je fus catalogué comme futur grand sorcier. Je ne comprenais pas bien le soulagement que je sentais chez mes parents. Enfant de deux sorciers, il était naturel que je le sois non ?
La suite me prouva que non. Tandis que j'allais à l'école primaire moldue du village, j'attendais de voir chez Eilian cette étincelle de folie que je devais cacher aux autres. Mais les années passèrent et il ne la développa jamais. Vint ensuite une nouvelle descente dans les ténèbres. L'époque de la jalousie de mon frère et de mes maladresse Ce fut cette absence de don qui nous sépara plus que la géographie ou les intérêts divergeant. Cela dit il resta mon cadet comme je suis toujours son aîné et nous nous voyons régulièrement.

A onze ans à peine, je quittais mon pays pour Oslo. Pourquoi Oslo ? Et bien parce que mes parents ayant étudiés là, ils m"y ont inscrit. Et pourquoi s'étaient-ils inscrit dans les frimas norvégiens ? Parce qu'il fallait bien aller quelque part. Ma mère s'était renseignée sur les universités, mon père avait lancé une fléchette sur la carte du monde. Toute méthode est bonne puisqu'ils en revinrent enchantés.
Bref, me voila partit pour sept ans minimum au pays des grands blonds aux yeux de pluie. J'appris rapidement la langue, surtout qu'eux mettent un point d'honneur à baragouiner l'anglais et me fit mon petit coin dans ce pays froid. Le climat fut l'une des choses les plus dures à supporter Ça et le fait de manger du renne. Mais l'être humain tire sa force de son adaptabilité et lorsque je revins pour la première fois en vacances à la fin de ma troisième année, j'étais presque totalement norvégien. Mon frère lui, s'était totalement intégré au monde moldu et apprenait l'art de la construction. Entre moi qui commençait déjà à me diriger vers une vie plus intellectuelle et lui et ses travaux manuels, la communication se fit plus dure encore. Nous n'avions rien à nous dire. Sans parler du fait que j'étais jaloux comme un pou de le voir si proche de notre père alors que je m'éloignais de plus en plus des miens.

Plus le temps passait à Oslo moins je pensais à retourner un jour dans mon pays natal. Mes études me passionnaient, mes amours me transportaient, mon avenir dans les Sortilèges me semblait tout tracé. Quel intérêt de retrouver la pluie alors que la neige enchantait mes sens ? De quitter la lumière pour les ténèbres ?
Je terminais mes études avec un résultat honorable - même si j'aurais pu facilement faire mieux Il faut savoir qu'en Norvège ils sont bien plus sévère que chez nous - et j'entamais l'université. Une maîtrise plus tard, je décidais de faire le tour du monde histoire d'ouvrir un peu plus mes horizons. Raconter mes aventures serait trop long aussi vais-je me contenter de dire que je l'ai bouclé et ai apprit beaucoup. J'avais finalement terminé ma formation car il fallait cette initiation pour enseigner à Laerdom. Je décidais donc de faire ma vie là bas lorsqu'un hibou me vint de mon frère. Il s'était marié à une cracmole (je le savais évidemment, puisque j'avais été témoin à son mariage) et sa fille venait de se montrer sorcière. Il fut donc décidé que je rentrerais en Angleterre m'occuper du petit rayon de soleil familial. Il m'apprit également que Poudlard allait être reconstruit et qu'il participait au chantier. Il était tellement fier que je décidais de me rendre sur le chantier, voir l'avancement des travaux. Le château me plu tout de suite, si proche de ma demeure. J'allais donc voir les directrices qui surveillaient tout ça et réussit à me faire engager. Ce n'est d'ailleurs pas étonnant. Mes qualités parlent d'elle-même !



Vos recherches

Pas spécialement même si tous les personnages nommés sont adoptables et qu'il est tout a fait possible de négocier des connaissances d'Oslo.


Hors Rp

Comment avez-vous connu le forum : Par deux membres
Si vous avez été amené par un membre, son nom: Mihael et Laeren
Recommanderiez-vous Eylops à un autre rôliste? Pourquoi pas
Votre première impression sur le forum : Cacahuète, avec un h cette fois

Comme tu viens de l'ancienne version je valide directement et indique que ton cours est ouvert