Samuel Swan

Fiche de personnage pour les élèves



Nom:Swan
Prénom: Samuel, Sven, Soren
Surnom éventuel: Sam
Age: 14 ans, 15 en octobre
Date de naissance: 14 Octobre
Sang : Pur mais métissé anglo-norvégien
Lieu de résidence: Oslo/Londres



Père: Stewart Swan. Stewart est un britannique, londonien de naissance. Sa famille, bien que modeste et sans grande notoriété ne connaît aucun moldu aussi sont-ils catalogués dans la catégorie des sangs purs. Mais il faut avouer que depuis la mort de Voldemort, ce genre de chose a perdu en importance.
Stewart est un homme d’une quarantaine d’année, aux cheveux châtain clair et aux yeux de même couleur. Il est de grande taille et toute sa physionomie est plutôt sympathique bien que sans rien de particulier. Depuis quelques années il se laisse pousser une fine moustache dont il est très fier.
Dans son comportement, Stewart est un britannique 100% pur tweed. Gentil, poli, froid parfois au premier abord et possédant cette humour sérieux qui est la marque des insulaires. Il ne se met que rarement en colère mais apprécie que tout soit à sa place. Il aime la normalité. D’un point de vue magique évidemment. Pour ses défauts on pourrait dire qu’il est peu démonstratif, parfois un rien maniaque et qu’il manque beaucoup d’imagination. Stewart vend des balais de course.
Mère: Solvej Swan, née Patrix est norvégienne. Née à Trondheim, elle n’a rien d’extraordinaire non plus mis a part de longs cheveux blonds et des yeux bleus glaciers qui laissent rêveur plus d’un jeune anglais. Elle a 6 ans de moins que son mari mais ne l’en aime pas moins. Solveij est vendeuse dans l’entreprise de son mari et s’occupe de leurs trois enfants. Elle a 34 ans.

Frère et soeurs: Un frère aîné et une sœur plus jeune.
Stefen Swan est en 6ème année et n’a pourtant qu’un an de plus que son frère. Enfin 1 an et 10 mois puisqu’il est né en Aout. C’est un garçon brun aux yeux bleus, à la peau pâle et aux nombreuses taches de rousseurs. Il a hérité de la finesse des traits de sa mère, du flegme anglais de son père, bref c’est un très beau garçon. A Laerdom, il était la coqueluche la maison Sleipnir. Néanmois, s’il est populaire et travailleur, il manque parfois de raisonnement et de pouvoir ce qui en fait un élève moyen. Stefen aime tout le monde, y comprit les adultes et les professeurs.

Sissel Swan est une petite fille fragile de 3ème année. Elle a de longs cheveux blond vénitien et des yeux noirs très profonds. Musicienne, peintre, bref artiste, elle s’exprime surtout dans son art et parle pas. En général, elle est plutôt timide et assez rêveuse. Elle ressemble beaucoup à sa mère, que ce soit physiquement ou psychologiquement et en est très proche.
Ascendance connue : ( exemple un ancien de gryffondor ...): Aucune. La famille de Solvej a fait ses études à Oslo et avant ça à Drumstang. La famille Swan préférait Beauxbâtons jusqu’à ce que Stefen choisisse Oslo. Personne ne sait dans quelle maison était les Poudlardien. Principalement parce que personne n’en parlait vraiment ou c’était distingué d’une manière ou d’une autre.
Histoire de famille : Rien de particulier. On raconte que le grand oncle de Stewart aurait fait partie des mangemorts durant la grande guerre mais rien ne le prouve. Stewart et Solveij se sont rencontrés durant leurs études à Oslo.



Ancienne école: Laerdom puis Trolldom, à Oslo.
Maison choisie: Je vous laisse le choix, tout sauf poufsouffle (veut pas que Nalec me déteste)
Cours suivis: Samuel veut devenir médicomage plus tard. Il suit donc tous les cours disponibles nécessaire à cette spécialisation (malheureusement l’option du même nom n’est disponible qu’a partir de la 6eme année).
Poste particulier désiré:( préfet, capitaine de quidditch, joueur) aucun
Appartenance à un club: le journal de l’école ? Mais juste de temps en temps.
Objets magiques particuliers: euh..sa baguette ? Oh, et un Swan 21, le dernier balais fabriqué par son père… dont il ne se sert pas.



Manie, toc, habitude: Samuel a souvent les mains moites qu’il essuie alors sur ses cuisses. Il enlève aussi régulièrement sa mèche de devant ses yeux et il se tient la plupart du temps en retrait.
Phobie: La foule. Il est agoraphobe et ça ne l’aide pas vraiment a aller en cours. C’est pourquoi il préfère Poudlard, moins peuplé que Laerdom.
Qualités: Samuel est un gentil garçon. Avec la nuance de pitié que cela sous entend malheureusement. Il est doux, attentionné, simple, serviable, souvent de bonne humeur, altruiste, sensible et surtout généreux.
Défauts: Sam a les défauts de ses qualités. Il est timide, introverti, n’ose pas vraiment dire ce qu’il pense de peur de blesser autrui, même s’il doit mentir pour ça. Il se met rarement en avant, sauf quand il n’a pas le choix auquel cas il révèle une force tranquille assez étrange.
Caractère en résumé : Samuel est un garçon qui sait se faire oublier. Son rôle de second dans la famille le prédestinait presque à ce qu’il est devenu. Un enfant sage, simple, qui ne fait pas d’histoires. Bien qu’il reste avant tout discret, il est plutôt bon élève, travail peu par rapport à ses notes, exclusivement ce qui l’intéresse. Il est du genre « qui va piano va sano ». Avec lui, pas de vagues, pas de colère, pas de bruit. Si un chemin est bouché, il en choisira un autre sans faire d’histoire. L’important étant d’arriver au but.
Sinon, Sam est un garçon très gentil. Et quand on dit très c’est vraiment beaucoup. Il cherchera toujours à aider ceux qui sont sur son chemin, soit avec un sourire s’il ne peut rien faire, soit en utilisant tous les outils qui sont à sa disposition. Il est doux, sensible, altruiste et généreux. Totalement inhibé par le caractère brillant de son aîné et le talent incontestable de sa sœur, il n’éprouve cependant aucune jalousie et les aime de tout son cœur.
Enfin, Samuel Swan cherche le calme et l’harmonie partout où il va. Il aime la lecture, l’écriture (il a une assez belle plume et peut se montrer curieusement incisif quand il ne se surveille pas), les études et les gens. Sa vocation de médicomage vient d’ailleurs de sa terrible propension à aider autrui.
Vu comme ça, Sam parait assez fade et c’est ce qu’il recherche. L’ombre des autres, la protection dans l’anonymat, enfin tout ce qui lui permet de se faire oublier. La discrétion est devenue chez lui une seconde nature. Ce n’est que lorsqu’il est en confiance que le jeune Samuel se révèle. Vous trouverez un garçon intelligent, avec une vue assez juste des choses et des gens, une langue parfois acérée (quand il est sur de ne pas blesser celui qui est en face. En gros il ne taquine que ses amis), un cœur d’or (ça toujours) et une vraie curiosité sur la vie, les gens, les cultures et tout ce qui va autour.
Quelles sont vos relations avec la gent féminine: Des relations ? Euh… normales quoi.
Quelles sont vos relations avec la gent masculine: pareil
Avez-vous un ou une petite amie: non
Etes vous un drageur, un timide, un extraverti....: timide, introverti, discret, du genre a aimer de loin pendant des années.
Sexualité: Indéfinie.



Style vestimentaire: Tunique pantalon, a la mode Norvégienne. Plutôt du vert ou du brun en haut, toujours du noir en bas. Et des baskets.
Votre physique: Sam est un garçon de taille moyenne et de beauté qu’il qualifie lui-même de quelconque alors que tous dans sa famille montrent des signes d’une grande élégance. Mais à vous de juger, Sam est très mauvais critique lorsqu’il s’agit de lui.
Pour commencer de longs cheveux fins encadrent son visage dans une coupe au bol lui tombant sur les épaules. Ses cheveux sont blonds en été, châtains clairs en hiver, avec ce qu’il désigne sous le sobriquet de « reflets verts ». Son visage est très blanc, bien dessiné, avec des pommettes très hautes et un grain de beauté noir juste sous son œil gauche.
Parlons en de ses yeux. C’est bien la plus belle chose chez lui. Bruns, profonds, avec des reflets d’ambre et d’acajous. Il sont immenses, bordés de longs cils blonds et surlignés de sourcils bruns. Il donnent à toute sa physionomie un on-ne-sait quoi de candide, de doux et de fragile.
Sa silhouette maintenant. Bien qu’il ne soit pas vraiment petit, Sam est un garçon trapu qui n’a visiblement pas encore entamé sérieusement sa poussée d’adolescence. Alors que les garçons de son âge sont souvent tout en bras et en jambes, lui reste assez bien proportionné. Bien qu’il ne soit pas très sportif, il a une carrure respectable et ses abdominaux quotidiens ont fini par payer. Il est en somme, plutôt joli garçon qui s’ignore et gagnerait beaucoup à être moins terne, arrêter de courber la tête et à sourire plus souvent. Car un sourire sur ce visage sérieux, est assez lumineux pour faire reculer un filet du Diable.
Taille: 1m63
Poids : 47 kgs
Signe distinctif: un grain de beauté sur la pommette gauche
Piercing: ça va pas ? o0
Tatouages: …



Longueur:
Composition: C’est une très belle baguette noire en bois d’ébène qui contient une écaille de serpencendre.
Quelle faculté a-t-elle: C’est une baguette assez particulière. Pour commencer elle n’est pas vraiment rapide, ni puissante, ni même précise mais avec elle, les sorts seront toujours bien dosés, ni trop, ni trop peu. Elle n’est pas très efficace pour la magie noire, la magie de combat en général, ou même la métamorphose mais tout ce qui est réparation, retour à la normale, ou guérison se passe comme un charme.
Ou l'avez-vous achetée: A Oslo ou je suis né. Chez le O’Grady national qui se nomme Kjepp
Contez-nous son achat: Stefen venait d’avoir dix ans. L’age du passage de Kinddomà Laerdom et il faut bien vous avouer que le petit brun n’était pas peu fier de ses notes de passages et surtout des appréciations enthousiastes de ses professeurs. Il avait eu toutes les notes qu’il fallait pour passer dans la classe supérieure et surtout avoir le droit à sa propre baguette. Car il faut vous dire qu’en Norvège, ce n’est pas une étape obligatoire. Afin de ne pas surcharger l’équivalent de la Brigade des Accidents Magiques de travail, seuls ceux qui ont passés avec succès un test de personnalité ont le droit à avoir une baguette.
Bref, Stefen était là, avec tout le reste de la famille, à examiner et rejeter l’une après l’autre toutes les baguettes proposées par le marchand.
Au bout d’une longue demi-heure, Sam eut l’attention attirée par une baguette sur un étal de bois. Elle était noire. Pas teinte, mais d’un noir naturel, profond, pénétrant. Elle n’était pas finie, le fabricant l’ayant simplement posée là en attendant de faire la poignée. Samuel s’en saisit, presque malgré lui et, sans réfléchir, l’agita.

Il y eu un rayon ambré, chaud et étrangement lent qui sortit du bout de bois. Il se dirigea droit vers une boite dont les gonds était cassés, entoura le tout et la boite fut réparée.

C’est ainsi que Samuel eut sa baguette un an et demi avant l’âge habituel. [Il n’eut toutefois pas le droit de la toucher avant de passer le test (qu’il réussit avec un an d’avance pour la peine) ou de l’apporter a Kinddom. ] Stefen, quand à lui, fut extrêmement jaloux que son bout de bois à lui soit plus ordinaire (quoique, Oranger et Moremplis, ce n’est pas non plus un mélange banal) et bouda pendant au moins 5 minutes avant de se vanter de devenir bientôt le meilleur joueur de quidditch de Laerdom (ce qui ne fut d’ailleurs pas loin d’être le cas).

Je ne sais pas comment je vais réussir a écrire autant sur ma vie mais je vais essayer. Alors. Mes parents se sont connus à Oslo, à l’université de Trolldom alors que mon père faisait des études pour devenir (a l’époque) briseur de sorts et ma mère infirmière – sage femme. Le grand amour a ce qu’ils disent, quoique cela puisse être. Toujours est-il que Stefen pointa le bout de son nez et que les deux jeunes gens arrêtèrent leurs études. Mon père avait 24 ans, et ma mère tout juste 18. Plein de foi en l’avenir, Stewart entra comme apprenti chez un fabricant de balais de courses et ma mère resta à la maison pour préparer la venue du bébé.
Stefen naquit en Aout, avec un mois de retard sur les prévisions. Il était beau, grand, joyeux et attendu. Enfin c’est ce que l’on m’a dit. Maman s’est beaucoup occupée de lui à l’époque. Il était un peu l’un des seuls bébés qu’elle ne mettrait jamais au monde. Il était également le fils de cet anglais qu’elle aimait tellement. Ce mari qui avait renoncé à son pays pour elle.
Je naquis pas très longtemps après. Je n’étais pas plus prévu mais tout aussi désiré. Seulement avec un travail à mi-temps, un gamin d’un an et demi qui demandait beaucoup d’attention, elle avait peu de temps à m’accorder. Ce fut encore pire un an plus tard, lors de la naissance de ma sœur. Oh, je n’ai pas été malheureux hein, mais il m’arrivait parfois de me sentir oublié dans cette maison pleine d’amour mais aussi d’agitation et de bruit.

Les années passèrent. Quatre en ce qui me concerne. J’étais alors un petit garçon assez semblable à ce que je suis encore. En plus petit quoi. Mon père travaillait comme main d’œuvre à l’atelier, ma mère était toujours vendeuse, Stefen entrait à Kinddom. On se rendit donc dans une espèce d’immense centre commercial de fournitures scolaires pour sorcier. Les choses sont toujours moins cheres quand on les achète en gros et mon père ayant une carte d’artisan…bref.
Le magasin était bondé, mais quand je dis bondé ce n’est pas une métaphore. Il me semblait que tout le continent se soit donné rendez-vous ici.
Stefen partit dans un coin en courant après une plume correctrice. Sissel partit de l’autre, attirée par des crayons de couleur qui rendaient les portraits pas vivants mais au moins mobile. Père courut apres Sissel, Mère après Stefen, et je me retrouvais seul avec les paniers. Seul. Dans la foule. Je sentis la chaleur monter, je n’arrivais pas a respirer, je n’osais pas bouger, je ne voulais pas appeler.

Je me réveillais à l’infirmerie du centre. J’avais fait une crise de panique qui avait déclanché un malaise mais j’étais en bonne santé. Tu parles. Je tremblais de tous mes membres, incapable de voir une sortie. On me donna quelques calmants pendant une petite semaine et mes parents furent sévèrement sermonnés sur l’inconscience de laisser un enfant aussi jeune tout seul dans un lieu inconnu. C’est ainsi que je pu mettre un nom sur ma plus grande peur. L’agoraphobie.

Cette peur est un véritable handicap. A cause d’elle, je ne me mêle jamais aux groupes et ne choisit que des endroits silencieux et peu connus des autres. Je passais donc ma scolarité à Kinddom en passant presque inaperçu. Presque parce que j’avais de bonnes notes et que j’étais toujours enclin à aider celui qui boudait dans son coin. L’un dans l’autre, tout le monde me connaissait, au moins de vue. Mais je n’allais vers personnes et seuls venaient ceux qui avaient besoin de moi. Cela ne me chagrine pas, au contraire. J’aime me rendre utile, j’ai vraiment l’impression d’exister lorsque j’ai pu améliorer un peu la vie de quelqu’un.

Je vous ai déjà résumé l’évènement marquant de ma petite enfance lors de l’acquisition de ma baguette. Comme je ne fais rien comme tout le monde, je changeais également de maison en passant de Kinddom à Laerdom. J’étais a Skotgatt pour mon homogénéité, je passais a Sleipnir avec l’intention de devenir Medicomage. De toute façon, vu ma baguette, c’était ça ou réparateur ce qui me plaisait tout autant. Le test ne fut pas facile mais je le réussi aussi (de justesse j’avoue) et quittait ma sœur pour rejoindre mon frère dans sa maison.

Tout le monde a Laerdom s’attendait a ce que je sois comme Stefen. Et tout le monde (Stefen excepté) fut déçu. Je ne jouais pas au quidditch, ne préparait pas de magnifiques fêtes pour mes camarades, ne distribuait pas de bonbons à tout vents. Mais je fabriquais de petits cadeaux, composait des poèmes et entretenait les balais. Je m’aperçu rapidement qu’il est facile d’être apprécié lorsque l’on rend service et fit ainsi mon petit trou dans le monde. L’année suivante, ce fut au tour de Sissel de nous rejoindre, mais elle resta a Skotgatt, en bonne artiste qu’elle était.

Cette année là, nos trois bulletins furent mauvais chacun à leur façon. A la maison, le temps était maussade. Papa et maman se disputaient tout le temps, on ne savait pas trop pourquoi, Stefen ne faisait que des bêtises et collectionnait les retenues, Sissel pleurait tout le temps et moi… je m’évadais vers un monde de lettres qui n’existait pas. On ne connaissait pas l’origine du mal être de la famille mais nous le sentions dans nos tripes.
En fait, ce n’était pas tant que papa n’aimait plus maman, mais que papa n’aimait plus la Norvège. Sans parler d’un truc étrange nommé la crise de la quarantaine. Bref, Papa voulait rentrer au pays alors que maman ne voulait pas quitter le sien. Seul l’absence d’une école « potable » convainquit le paternel de rester.
Aussi c’est tout naturellement que lorsque Poudlard annonça sa réouverture que maman cèda. Elle suivit l’homme de sa vie en Grande Bretagne. Notre père vendit notre maison de ville, s’acheta une boutique sur le « chemin de traverse » et nous installa tous dans un cottage familial de la banlieue de Londres. Maman est un peu déstabilisée mais elle aime beaucoup le coté verdoyant du pays de son mari et, ayant retrouvé son affection, retrouva par la même occasion ce sourire un peu enfantin que nous aimions tant voir sur ses lèvres.
Quand à nous trois, c’est en curieux que nous attaquons notre première année dans l’internat anglais. Stefen a déjà commencé à regarder les filles, Sissel à faire onduler ses mèches blondes et moi… a espérer que le bruit ambiant n’est du qu’a l’excitation de la rentrée.


Deux cours obligatoires choisis: Metamorphose, Astronomie
Cours optionnel choisi: Soin aux créatures magiques
Deuxième choix: a pas de surnombre




Recherchez vous des personnages particulier? Frère, soeur, petit ami,amie cousin... Si oui laissez nous une description des personnages, elle sera transférée dans la partie postes vacants. Son frère Stefen et sa sœur Sissel (vous avez une description dans « famille »)




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